Cas d’usage

Juin 23

Bienvenue sur la Gazette d’Entr’Actes, notre newsletter trimestrielle qui vous résume toute l’actualité de la solution et vous dévoile ses nouveautés !

Afin de vous montrer la variété de possibilités permises par Entr’Actes, nous partageons régulièrement avec vous les cas d’usage que nous rencontrons en ville, à l’hôpital, avec les institutions ou encore des associations. Tout est imaginable, il suffit de le mettre en place !

Vous retrouvez ainsi ci-dessous tous les cas d’usages partagés sur nos réseaux sociaux depuis janvier. Cliquez sur l’image pour le voir apparaitre en entier et le télécharger si besoin. Vous pouvez aussi partager chaque cas d’usage directement sur Linkedin !

Si vous souhaitez mettre en place un usage similaire sur votre territoire, n’hésitez pas à revenir vers notre équipe, nous pourrons vous y aider : contact@entractes.fr

Gestion de crise

La gestion de crise avec entr'Actes : explosion dans une usine

Dans l’ACI 2, on définit la situation sanitaire exceptionnelle comme     

« englobant toutes les situations conjoncturelles susceptibles d’engendrer de façon immédiate et imprévisible une augmentation sensible de la demande de soins ou une perturbation de l’organisation de l’offre de soins. »

Le cas de l'usine X

Notre cas d’usage du jour se situe totalement dans ce scénario : explosion d’une cheminée d’usine avec apparitions de gros dégagements de fumées noires !

·      L’ARS déclenche dans les heures qui suivent son plan ORSAN (Organisation de la Réponse du système de santé en situations Sanitaires exceptionnelles).
 
·      Les CPTS des territoires impactés sont prévenues afin de relayer les informations aux professionnels de santé. Via Entr’Actes, il suffit à Clément, le coordinateur de la CPTS la plus proche d’utiliser la fonction d’« alerte territoriale » qui permet de prévenir immédiatement tous ses adhérents.
 
·      Afin que leur rôle de veille et de signalement de patients avec gêne respiratoire, signe cutanés, trouble du transit, soit simple et efficient, médecins, pharmaciens et infirmier.ères ont la possibilités de remplir des questionnaires dynamiques pour remonter rapidement les problématiques de terrains rencontrés.

·      Malika, infirmière libérale avec de nombreux patients âgés déclenche d’ailleurs via Entr’Actes une de ses patientes avec de graves troubles respiratoires. Elle est prise en charge en SNP par un médecin dans la journée.
 
·      Clément, le coordinateur, centralise toutes les informations des prises en charge Entr’Actes et continue d’informer les PS de son territoire via le système d’alerte.
 
Avec Entr’Actes, la communication est au cœur de la coordination du soin de crise.

Téléexpertise

Eric en téléexpertise

Dans le cadre du suivi de son diabète, Eric se rend tous les mois chez son médecin traitant, le Dr Eka, pour suivre l’évolution de sa pathologie chronique. Ce dernier détecte une légère arythmie et réalise un ECG par précaution.

Le cas d'Eric

Après avoir vu les tracés, il décide d’utiliser son application mobile Entr’Actes pour demander l’avis d’un confrère cardiologue. Avec l’accord de son patient, il réalise une demande de téléexpertise pour une interprétation d’ECG atypique et envoie en pièce jointe les résultats d’Eric.

Quelques jours plus tard, le cardiologue a rendu son avis. Pour cet acte de télémédecine, le Dr Eka, en tant que requérant, sera rétribué de 10 euros. Son confrère cardiologue acceptant, de 20 euros par la Sécurité Sociale.

Plusieurs semaines après, Eric s’étonne d’une perte de sensibilité au niveau du pied droit et constate des plaies plantaires qui guérissent mal. Il fait alors appel à son infirmière. Celle-ci suspecte un pied diabétique et décide de solliciter Dr Eka pour une téléexpertise via Entr’Actes.

Après un mois difficile, Eric va mieux et est plus que jamais investi dans sa maladie chronique. Il semblerait même qu’il ait finalement demandé à participer aux séances d’ETP proposées.

Astreinte

Cas d'usage d'astreinte entre le SAS et les médecins de ville

Manon vient d’emménager dans une nouvelle colocation avec Léa et Sofiane, étudiants plutôt fêtards. La veille, il y avait justement une soirée chez eux ! Une partie des invités ne s’est pas gênée pour fumer à l’intérieur malgré les demandes répétées de Manon.

Le cas de Manon

En plus de détester l’odeur, elle se doit de faire attention car depuis enfant, elle est sujette à de graves crises d’asthme !

Cela ne rate pas ! Alors que la soirée se termine, Manon se sent mal et commence à avoir de plus en plus de difficultés à respirer. Ses colocs cherchent désespérément son inhalateur mais il semble égaré dans les cartons non déballés !

Paniquée, Léa décide d’appeler le 15.

L’OSNP du SAS aurait pu déclencher directement le médecin traitant de Manon mais, étant nouvelle dans cette ville, elle n’en a pas encore. L’OSNP aurait également pu adresser Manon aux médecins de ville de proximité de son domicile. Sur ce territoire, la CPTS a fait le choix d’une organisation par astreinte médicale pour la prise en charge des SNP. Manon est donc adressée vers le médecin d’astreinte, qui accepte sa prise en charge sur Entr’Actes.

Manon récupère rapidement, un nouvel inhalateur en sa possession. Les fumeurs seront dorénavant invités à savourer leur dose de nicotine à l’extérieur de l’immeuble. Ou arrêter. C’est bien aussi l’arrêt.

Transport sanitaire

Julien et son ambulance

Il y a les pros de santé en ville présents au quotidien pour accompagner leurs patients et il y a les pros de santé à l’hôpital qui prennent soin des plus fragiles. Et entre ces deux milieux, on trouve aussi un maillon essentiel qui permet une continuité et un accès aux soins au quotidien : les professionnels des transports sanitaires !

Le cas de Julien

Chez Entr’Actes, nous travaillons avec ces hommes et femmes de la route qui permettent à des patients isolés, dans l’incapacité de se déplacer ou médicalement équipés, d’avoir accès à des spécialistes ou encore de l’imagerie.

Julien peut d’ailleurs toujours compter sur eux pour ses visites auprès de son pneumologue à l’hôpital. Atteint d’une maladie chronique, la BPCO, Julien est quotidiennement sous oxygène et en fauteuil car le moindre effort le fatigue énormément.

Il y a quelques jours, son médecin traitant trouve que son état s’est légèrement aggravé et lui bloque un créneau radio en urgence. Pour accompagner Julien jusqu’à l’hôpital le jour J, son médecin n’a pas de difficulté à se mettre en lien avec une société d’ambulance ! Il effectue une demande de prise en charge via Entr’Actes en précisant que Julien est en fauteuil et sous assistance respiratoire pour que le véhicule adapté soit disponible.

Toutes les sociétés enregistrées sur Entr’Actes reçoivent la sollicitation pour maximiser les chances de prise en charge. Très réactive sur ses disponibilités, une société accepte de transporter Julien et le ramener chez lui le jour de l’examen !

Parcours Diabète

Cas d'usage d'Antoine atteint de diabète de type II

Antoine n’est pas très bien depuis quelques temps. Son entourage s’inquiète car lui qui était un bon vivant, a beaucoup maigri et en très peu de temps. Il est perpétuellement fatigué et il ne peut même plus profiter de son émission télévisée préférée. Ses lunettes auraient-elles un problème ?

Le cas d'Antoine

Alors que Sonia, son infirmière qu’il n’a pas vu depuis quelques mois, vient le vacciner, il lui parle de ses inquiétudes.

Ni une ni deux, Sonia suspecte un diabète et décide de le signaler à la coordinatrice de parcours de sa CPTS via son application mobile Entr’Actes. Par la suite, cette dernière déclenche le médecin traitant d’Antoine qui le reçoit quelques jours plus tard afin d’établir le diagnostic.

Hélas pour Antoine, il s’agit bien d’un diabète de type II. Mais pas de panique, il est à présent inclus dans un parcours et un cercle de soin est bâti autour de lui afin de le suivre au quotidien. Des questionnaires, disponibles sur Entr’Actes, peuvent être complétés par les différents professionnels de ce cercle!

Antoine est rassuré, il est à présent bien entouré !

Sortie de maternité

organisation du retour à domicile de Chloé qui a accouché il y a 2 jours

Dans la famille lien ville-hôpital, je voudrais la jeune maman ! En effet, avec Entr’Actes, il est possible d’adresser très facilement une patiente vers une sage-femme libérale pour la surveillance post accouchement. On vous explique plus en détail avec le cas de Chloé !

Le cas de Chloé

Chloé a accouché il y a deux jours et tout va bien pour le nouveau duo ! Ils peuvent donc rejoindre leur domicile dès le lendemain. A son arrivée, elle a informé le service maternité qu’elle avait déjà une sage-femme qui la suivait sur la ville, Son. Elle souhaite donc poursuivre son post partum avec sa professionnelle de confiance.

Les sages-femmes de la maternité renseignent sa sage-femme habituelle sur Entr’Actes au moment de réaliser leur déclenchement. Elles visualisent que Son est justement inscrite sur la plateforme; très pratique ! La sage-femme libérale de Chloé reçoit donc en priorité le déclenchement pour sa patiente et a accès à toutes les informations à propos de la prise en charge, qualifiée par les sages-femmes de la maternité.

Si Chloé n’avait pas eu de SFL habituelle, la maternité aurait pu déclencher d’autres sages-femmes inscrites sur Entr’Actes et ainsi assurer la continuité des soins.

Bien sûr, le médecin traitant de Chloé est informé par Entr’Actes et/ou par messagerie sécurisée MSS.

Chloé est rassurée, elle ne s’occupe de rien et peut se concentrer sur son bébé. Le retour à domicile est sécurisé !

Retrouvez toutes nos actualités sur Linkedin

C’est notre principal canal de communication et nombre de nos utilisateurs sont dessus. Aussi, nous vous invitons à suivre la page Entr’Actes afin d’être informés de tous les cas d’usages que nous rencontrons ou que nous imaginons avec la solution ! L’occasion de vous donner des idées sur les multiples utilisations possibles sur votre territoire.

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